→ VODKA ←
ils se trémoussent en boite, ils enchaînent les verres. les bouteilles alcoolisées se succèdent les unes aux autres. ils ne comptent pas. tout ce qui les importe, c'est de faire la fête. encore et encore sans jamais s'en lasser. ils ne s'arrêtent qu'au petit jour avec un dernier shooter pour recommencer de plus belle le soir même. leur quotidien ne se résume qu'à boire faire la fête, rentrer dans toutes les boites de nuit tropéziennes, encore et encore, sans s'arrêter. ils veulent en profiter tant qu'ils le peuvent, tant qu'ils sont jeunes.

→ MALIBU ←

les soirées, ils aiment ça. les apéritifs en début de soirée, ils apprécient et pourtant, loin d'eux l'envie de passer leurs soirées au papagayo ou au bar du port. une bouteille, des curly et une bande d'amis est probablement la chose qui leur correspond au mieux. des petites soirées comme ça sont suffisantes à leurs yeux. pas besoin de paillettes et de superflus pour s'amuser. pas besoin de gaspiller leur argent en alcools luxueux. de la musique, de bons dvd, des amis et de quoi manger, c'est ça leur devise.

→ WHISKY ←

saint tropez, ils aiment ça. c'est leur chez eux. ils regardent évoluer ce petit village de pêcheurs un peu plus chaque jour et, contrairement à beaucoup, ils n'aiment pas ça. le luxe qui s'étale trop, les fêtes qui s’enchaînent, ils seraient presque contre. is préfèrent rester tranquille chez eux. ce nouveau saint tropez et cette population pétée de thunes sont des choses affligeantes pour eux. il vaut mieux être seul plutôt que d'être accompagné par une bande de personnes n'aspirant qu'à la fête et à la reconnaissance en marchant sur ceux qu'ils auraient appelés "amis".

→ RHUM ←

les soirées, ils adorent ça ! ils en font souvent et pourtant, contrairement à d'autres, cela se passe en petit comité et pas forcément en boite de nuit. tous les soirs, les soirées s’enchaînent, soit chez l'un, soit chez l'autre. après tout, même si ils ont une véritable âme de fêtard qui se respecte, les grosses beuveries tropéziennes où tout le monde fini mal n'est pas spécialement pour eux.